Upphaekud jörd, 1998. Traduit de l’islandais par Catherine Evjólfsson. Editions Zulma, 2016. Quatrième de couverture : Souvent aux beaux jours, Ágústína grimpe sur les hauteurs du village pour s’allonger dans le carré de rhubarbe sauvage, à méditer sur Dieu, la beauté des nombres, le chaos du monde et ses jambes de coton. C’est là, dit-on, qu’elle…
