Nälkävuori, 2012. Traduit du finnois par Claire Saint-Germain. Éditions Héloïse d’Ormesson, 2016. Ma chronique : Je ne suis pas passée loin du coup de cœur. La Faim blanche a été en tous cas un coup à l’estomac. Un récit dur, très dur même par moments. La beauté scintillante aux contours oniriques d’une gemme taillée dans…