The Sea and the Silence, 2008. Traduit par Francis Kerline. Éditions Joelle Losfeld, 2012 Ma chronique : Au début du roman, c’est la mer qu’on entend, une mer qui « [scintille] comme si toute l’argenterie du monde y était engloutie à fleur d’eau. ». A la fin, ce sera le silence ; « le monde silencieux ». Sauf que cette…