Beaucoup de choses prévues en septembre, cela méritait bien un petit billet ! Pour l’Irlande : • Du 14 au 16 septembre 2018 à Besançon aura lieu le festival Livres dans la boucle, qui mettra l’Irlande à l’honneur (j’en parlais dans mon billet de rentrée littéraire) : seront invités John Boyne, Eimear McBride, Ian McDonald,…
Étiquette : Jón Kalman Stefánsson
Entre ciel et terre – Jón Kalman Stefánsson
Himnaríki og helvíti, 2007. Traduit de l’islandais par Eric Boury. Gallimard, 2010 ; réédité en poche chez Folio, 2011. Ma chronique : Pour survivre, ils pêchent. En rang au signal, alors que l’aube n’est encore qu’un songe, tous ils se lancent, six par barques, inlassablement, ces colosses gaillards rament à l’assaut de la mer et de…
Mes lectures préférées en 2016
2016 a été ponctuée de très belles lectures. Sur les soixante-six livres lus cette année, voici mes dix préférés, sans ordre de classement (huit sont chroniqués sur le blog, deux pas encore) • D’ailleurs, les poissons n’ont pas de pieds – Jon Kalman Stefansson (roman, Islande, 2015) • Le Soleil et la Source – Frédéric…
D’ailleurs, les poissons n’ont pas de pieds – Jón Kalman Stefánsson
Fiskarnir hafa enga fætur, 2013. (Magnifiquement) traduit de l’islandais par Eric Boury. Gallimard, collection Du Monde entier, août 2015. Jón Kalman Stefánsson est né à Reykjavik en 1963. Romancier, poète et traducteur, il a reçu de nombreuses distinctions pour ses œuvres. En France nous l’avons découvert avec sa trilogie romanesque sur l’Islande de la fin…
Ma rentrée littéraire – bilan provisoire #2
Côté Irlande : Quatre livres lus, et deux qui attendent dans ma PAL. Coup de coeur ! • Tout ce qui est solide se dissout dans l’air de Darragh McKeon –> cf. ma chronique du 28/08/15 Un roman dense, extraordinaire, en plus d’être un hommage bouleversant à tous les sacrifiés de Tchernobyl. Je ne suis pas…
Ma Rentrée littéraire – bilan provisoire #1
Côté Irlande Dans mon billet du 11 août, j’avais fait le tour de la rentrée littéraire 2015, côté Irlande : Le Testament de Marie de Colm Toibin –> cf. ma chronique du 21/08/15 Tout ce qui est solide se dissout dans l’air de Darragh McKeon –> cf. ma chronique du 28/08/15 La déchirure de l’eau…