The Keeper of lost Things, 2016. Traduit de l’anglais par Christine Le Bœuf. Actes Sud, février 2017.
Ma chronique :
Le Gardien des Choses perdues est un livre doux, très British. Deux histoires sont menées de front. L’une autour d’une grande maison nommée Padua, où Anthony, suite à une perte cruelle, collecte des objets que d’autres ont égarés. Laura, amie puis héritière, sera en charge de retrouver leurs propriétaires. L’autre histoire suit à travers les années la petite maison d’édition de Bomber et Eunice, son assistante. L’ensemble est émaillé avec beaucoup de justesse par de courts récits, parfois sombres, sur les objets en eux-mêmes. C’est foisonnant et impeccablement construit jusqu’à la fin, très émouvante.
Dans ce premier roman de l’anglaise Ruth Hogan, il est question de livres, d’écriture, de perte et d’amour, de transmission et de mémoire, de la vie et de ses sens, de différence. Il y a beaucoup de complicité et de bienveillance ; de l’humour, aussi. Un brin désuet, ce roman est plein de sentiments, mais sans rien de mièvre. Une jolie découverte.
Je me l’étais noté celui-ci, j’ai très envie de le lire ! Et ton avis me motive encore plus 🙂
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Bonsoir Kevin, exactement pareil !
Merci Lady DoubleH pour cette belle chronique claire, courte et précise.
Bon samedimanche à vous deux !
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Merci beaucoup Eleonore ! Bonne fin de long week-end à toi 🙂
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Super ! Tu me diras ! 🙂
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Je ne connais pas du tout.
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Il me tente mais avec quelques réserves; pas totalement sûre d’adhérer.
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Il y a vraiment de très bonnes choses dedans. Si tu n’en attends pas le roman du siècle, tu ne devrais pas être déçue 🙂
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