Quelques nouveautés parues – ou à paraitre – cette année :
En poche
• Le silence pour toujours – Stuart Neville (Rivages noir poche, février 2018)
• L’invité sans visage – Tana French (Points, juin 2018)
• Les jours meilleurs – Cecelia Ahern (Milady poche, juin 2018)
• Vera – Karl Geary (Rivages poche, août 2018)
non fiction • Le procès d’Oscar WIlde – Bernard Cohen (Le Livre de Poche, octobre 2018)
• Le silence pour toujours de Stuart Neville (traduit par Fabienne Duvigneau – paru en grnad format chez Rivages noir en janvier 2017)
Après avoir été grièvement blessé dans une fusillade, l’inspecteur Jack Lennon voit sa vie partir à la dérive. Un jour, Rea Carlisle, une ex-petite amie, lui demande de l’aide. Rea, fille d’un politicien influent, a hérité de la maison d’un oncle qu’elle n’a jamais vraiment connu. En triant les affaires du défunt, elle tombe sur un album relié en cuir. Son contenu la remplit d’effroi. Page après page, elle découvre un catalogue de meurtres avec mèches de cheveux, ongles et autres souvenirs macabres. Impossible pour elle d’aller trouver la police, vu la position de son père ; mais au moment où elle s’apprête à rencontrer Jack Lennon, l’album disparaît… Les terribles fantômes de Belfast n’ont pas fini de hanter les vivants.
L’auteur (présentation de l’éditeur) : Stuart Neville débute avec le très remarqué Les Fantômes de Belfast, récompensé par le Prix Mystère de la critique. À travers les thrillers rythmés de la série Jack Lennon, il explore une Irlande du Nord déchirée par les séquelles de la guerre civile. Stuart Neville est également lauréat du Los Angeles Book Prize. Il vit à Belfast.
• L’invité sans visage de Tana French (traduit par Aude Gwendoline – paru en grand format chez Calmann-Levy en 2017)
« Avec son physique de rêve, Aislinn Murray faisait tourner les têtes dans les pubs de Dublin. Avant qu’on ne fracasse la sienne, dans son appartement. Pas de famille et peu d’amis, une personnalité lisse malgré un passé loin des contes de fées, et un prétendant insaisissable… Plus l’enquête avance, plus les secrets d’Aislinn semblent impénétrables. L’inspectrice Antoinette Conway en est persuadée : un piège s’est refermé sur la jeune femme, ne lui laissant aucun espoir de fin heureuse.
L’auteure : Tana French a grandi entre l’Irlande, l’Italie, le Malawi et les États-Unis et vit aujourd’hui à Dublin. Ses romans Écorces de sang (prix Edgar Allan Poe 2007), Les Lieux infidèles (prix du Meilleur Polar des lecteurs de Points 2012) et La Cour des secrets sont disponibles en Points.
• Les jours meilleurs de Cecelia Ahern (traduit par Fabienne Vidallet – paru en grand format chez Milady en juin 2017)
« Kitty est dans l’impasse. À force de dévoiler la vie privée des gens dans la presse à scandale, elle s’est acquis une réputation désastreuse et sa carrière de journaliste piétine. Pire encore, elle ne supporte pas d’avoir déçu Steve, son meilleur ami, une des rares personnes dont l’opinion compte à ses yeux. Comme un malheur n’arrive jamais seul, elle comprend que Constance, la femme qui lui a tout appris, vit ses derniers instants. Kitty demande à son amie de lui confier sur son lit de mort l’histoire qu’elle a toujours rêvé d’écrire. Mais la réponse arrive trop tard, sous la forme d’une liste de cent noms, sans aucune explication. Déterminée à résoudre l’énigme, la journaliste part à la rencontre de ces inconnus.
Cette enquête va lui permettre de découvrir des aspects pour le moins inattendus de la vie de Constance et peut-être même trouver un sens à la sienne. »
Auteure mondialement reconnue pour ses romances, Cecelia Ahern a aussi écrit un dyptique pour jeune adulte, une dystopie, dont j’ai lu et apprécié le premier tome –> cf. ma chronique
• Vera de Karl Geary (traduit par Céline Leroy – paru en grand format chez Rivages en août 2017)
Un premier roman qui m’avait touchée –> cf. ma chronique
Présentation éditeur : « Sonny est un jeune Irlandais de seize ans. Bien sûr, il veut échapper au destin sans horizon qui l’attend. Lorsqu’il croise le regard de Vera, sa beauté lui donne immédiatement le vertige. Elle vit dans les quartiers chics de Dublin, dans un monde étranger à Sonny. Elle ne dit jamais son âge. Elle parle peu. Mais elle sait l’écouter comme personne ne l’a jamais fait. Vera et Sonny vont vivre une histoire. Intense, dévastatrice et sublime. On sait dès les premiers gestes de tendresse que l’état de grâce ne peut durer, mais on est emporté par la puissance émotionnelle de ce roman, magnifique chant d’amour. »
NB : une rencontre avec Karl Geary (et Julian Gough) aura lieu au Centre Culturel irlandais le 6 novembre prochain !
• Le procès d’Oscar Wilde de Bernard Cohen
« Document exceptionnel, dans une édition établie par le petit-fils d’Oscar Wilde, Merlin Holland.
Un film en cours d’adaptation par Jean-Daniel Verhaeghe avec Alex Lutz, et Charles Berling, et Merlin Holland conseiller scientifique.
Le génie de Wilde, qui fait de ce procès un débat sur l’amour, l’art et la moralité. »
Le silence pour toujours de Stuart Neville et surtout le Vera de Karl Geary me tentent beaucoup. Merci à toi, excellente soirée et Bises bretonnes ! 🙂
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J’ai failli acheter Vera hier, ce n’est que partie remise (j’ai craqué pour L’écart d’Amy Liptrot).
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Ah, rrop bien ! J’ai trop hâte de découvrir le livre d’Amy Liptrot 😍
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Ces livres me tentent tous…. c’est grave !!!!! lol
merci Hélène
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Hihi, tu m’en voies ravie 😀
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C’est une course contre le temps qui passe…. LIRE LIRE LIRE…. 😉
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