Rentrée littéraire d’automne 2021 : vous reprendrez bien un peu de littérature irlandaise ?

Dans trois jours, la rentrée littéraire d’automne débarque… Qu’allons-nous donc découvrir de nouveau en littérature irlandaise ? Je vous présente ci-dessous cinq grands formats et deux poches (je sens que ma pile à lire va totalement s’alourdir ♥).
[Edit : ajout d’un grand format le 28 août 2021]

En grand format

Août 2021

Au-delà de la mer – Paul Lynch (Albin Michel, le 18 août)
Des milliers de lunes – Sebastian Barry (Joëlle Losfeld, le 19 août)
Le pavillon des combattantes – Emma Donoghue (Presses de la cité, le 19 août)

Septembre 2021

Les lanceurs de feu – Jan Carson (Sabine Wespieser, le 9 septembre)

Octobre 2021

Un tueur sur mesure – Sam Millar (Métailié, le 7 octobre)
Les soeurs du Titanic – Patricia Falvey (Le cercle Belfond, le 21 octobre)

En poche

Août 2021

Apeirogon – Colum McCann (10-18, le 19 août)

Septembre 2021

Le tiers temps – Maylis Besserie (Folio, le 23 septembre)

*

Au-delà de la mer de Paul Lynch (Traduit par Marina Boraso)

« Muets de saisissement, Hector et lui regardent le monde se recomposer dans une magnificence de couleurs. Comme s’ils étaient les premiers à contempler des ciels pareils. Chacun commence à entrevoir la vérité de l’autre, à deviner qu’ils sont tous les deux pareillement démunis au cœur de la vérité des choses. Et qu’au sein d’une telle immensité, ce qu’un homme porte en son cœur n’a plus guère de poids. »

“Malgré l’annonce d’une tempête, Bolivar, un pêcheur sud-américain, convainc le jeune Hector de prendre la mer avec lui. Tous deux se retrouvent vite à la merci des éléments, prisonniers de l’immensité de l’océan Pacifique. Unis par cette terrifiante intimité forcée et sans issue, ils se heurtent aux limites de la foi et de l’espoir, à l’essence de la vie et de la mort, à leur propre conscience.
Dans ce face-à-face d’une intensité spectaculaire, Paul Lynch explore la condition humaine avec une force digne d’Hemingway ou de Camus, et s’impose définitivement comme un virtuose des lettres irlandaises.”

L’auteur : Né en 1977 dans le Donegal, Paul Lynch est l’auteur de trois autres romans, publiés aux éditions Albin Michel : Un ciel rouge, le matin , finaliste du Prix du Meilleur Livre étranger ; La Neige noire, lauréat du Prix Libr’à Nous ; et Grace, élu Meilleur roman de l’année en Irlande, et couronné par le Prix des Ambassadeurs de la Francophonie.

Un ciel rouge, le matin est chroniqué sur le blog (par ici)les deux autres sont toujours dans ma pile à lire !

A noter que Paul Lynch sera le 7 septembre prochain au Centre Culturel Irlandais !

Des milliers de lunes de Sebastian Barry (Traduit par Laetitia Devaux)

« Bien qu’il s’agisse d’une histoire à part entière, nous retrouvons Winona Cole, la jeune orpheline indienne lakota du roman Des jours sans fin, et sa vie dans la petite ville de Paris, Tennessee, quelques années après la guerre de Sécession.
Winona grandit au sein d’un foyer peu ordinaire, dans une ferme à l’ouest du Tennessee, élevée par John Cole, son père adoptif, et son compagnon d’armes, Thomas McNulty. Cette drôle de petite famille tente de joindre les deux bouts dans la ferme de Lige Magan avec l’aide de deux esclaves affranchis, Tennyson Bouguereau et sa sœur Rosalee. Ils s’efforcent de garder à distance la brutalité du monde et leurs souvenirs du passé. Mais l’État du Tennessee est toujours déchiré par le cruel héritage de la guerre civile, et quand Winona puis Tennyson sont violemment attaqués par des inconnus, le colonel Purton décide de rassembler la population pour les disperser.
Magnifiquement écrit, vibrant de l’esprit impérieux d’une jeune fille au seuil de l’âge adulte, Des milliers de lunes est un roman sur l’identité et la mémoire, une sublime histoire d’amour et de rédemption. »

→ Ravie de retrouver les personnages Des Jours sans fin, qui avait été un tel coup de coeur ! ♥ (lire ma chronique ici)

Le pavillon des combattantes d’Emma Donoghue (Traduit par Valérie Bourgeois)

« 1918. Trois jours à Dublin, ravagé par la guerre et une terrible épidémie. Trois jours aux côtés de Julia Power, infirmière dans un service réservé aux femmes enceintes touchées par la maladie.
Partout, la confusion règne, et le gouvernement semble impuissant à protéger sa population. À l’aube de ses 30 ans, alors qu’à l’hôpital on manque de tout, Julia se retrouve seule pour gérer ses patientes en quarantaine. Elle ne dispose que de l’aide d’une jeune orpheline bénévole, Bridie Sweeney, et des rares mais précieux conseils du Dr Kathleen Lynn – membre du Sinn Féin recherchée par la police.
Dans une salle exiguë où les âmes comme les corps sont mis à nu, toutes les trois s’acharnent dans leur défi à la mort, tandis que leurs patientes tentent de conserver les forces nécessaires pour donner la vie. Un huis clos intense et fiévreux dont Julia sortira transformée, ébranlée dans ses certitudes et ses repères. »

L’auteure : Née en 1969 en Irlande, Emma Donoghue vit aujourd’hui au Canada. Naviguant avec aisance entre les genres – pièces de théâtre, nouvelles, histoire littéraire –, elle est surtout connue pour ses romans et notamment Room, best-seller international paru chez Stock en 2011. Avec Le Pavillon des combattantes, son sixième à être publié en France, elle signe un livre bouleversant, d’une saisissante actualité.

Terriblement hâte de lire ce roman !

→ Un recueil de nouvelles de l’auteure est chroniqué sur le blog : Égarés (j’ai également lu Room l’année dernière – coup de coeur ! – mais il n’est pas chroniqué)

Les lanceurs de feu de Jan Carson (traduit de l’anglais (Irlande du Nord) par Dominique Goy-Blanquet)

« À Belfast, l’été 2014 restera dans les mémoires comme celui des Grands Feux. Bien avant les foyers traditionnellement élevés à l’occasion de la parade orangiste du 12 juillet, de gigantesques incendies illuminent la ville en toute illégalité, ravivant le spectre des Troubles.

Jan Carson choisit les trois mois de cette saison si particulière pour confronter le quotidien de deux pères de famille, l’un et l’autre rongés par l’angoisse. Jonathan Murray, médecin, ne cesse de se remémorer la nuit de garde pendant laquelle il n’a pu résister à la voix enchanteresse d’une femme qui le hante désormais. Élevant seul leur enfant, il oscille entre le ravissement et la terreur de découvrir sur le petit visage inoffensif l’empreinte de sa fascinante génitrice… Quant à Sammy Agnew, ancien paramilitaire loyaliste, il tremble de devoir s’avouer que, sur la vidéo anonyme et virale du « Lanceur de feu » appelant à propager la rébellion, il reconnaît la silhouette de son propre fils.

Dans la chaleur de l’été, alors que la panique gagne et que Belfast s’embrase, ces pères, que tout sépare, partagent leur culpabilité et leur impuissance face à la violence qu’ils craignent d’avoir engendrée, et finissent par se rencontrer…

Leurs tribulations apparaissent comme la métaphore de cette ville où protestants et catholiques, flics et manifestants, pauvres et riches se frôlent sans ce connaître, et dont Jan Carson dresse un éblouissant portrait. Son réalisme et son incroyable énergie narrative font merveille pour embarquer le lecteur dans des situations où tout peut arriver… même croiser des enfants dotés de pouvoirs spéciaux. Comme le dit Sammy à Jonathan, il suffit d’aller voir ce qui se passe de l’autre côté de la rue. »

L’auteure : Jan Carson vit à Belfast, où elle est née dans une famille protestante. Elle y anime des ateliers artistiques et publie depuis une dizaine d’années. Comptant parmi les voix émergentes de la scène littéraire contemporaine, elle est l’auteur d’un premier roman, de recueils de nouvelles et de micro-fictions, Postcard Stories 1 et 2, pas encore traduits en français.

Les Lanceurs de feu (The Fire Starters), son deuxième roman, a été lauréat pour l’Irlande de l’édition 2019 du prix de littérature de l’Union européenne, et finaliste du Dalkey Book Prize. Il a été traduit en plusieurs langues et paraît en français le 9 septembre 2021.

Je suis très curieuse de découvrir ce roman !

A noter également que Jan Carson sera le 9 septembre prochain au Centre Culturel Irlandais ! (Oui, ils nous gâtent trop ! Merci à eux ♥)

Un tueur sur mesure de Sam Millar (Traduit de l’Anglais (Irlande du Nord) par Patrick Raynal)

« Braquer une banque à Belfast le jour d’Halloween déguisés en loups semblait être une bonne idée. Se rendre compte que le coffre avait été vidé avant leur arrivée, un peu moins. Mais voler une mallette à un client de la banque qui leur avait gentiment suggéré d’aller se faire voir, c’était signer leur arrêt de mort.

À Belfast, on sait qu’il faut être fou pour ne pas perdre la tête, et qu’il ne faut pas s’attaquer à ceux qui ont « l’Alzheimer irlandais » : ceux qui oublient tout sauf la vengeance.

Une course-poursuite en enfer entre braqueurs, ex-taulards, flics pourris, petites frappes, tueurs à gages et… la redoutable Fraternité pour la liberté irlandaise !

Des règlements de comptes, du suspense, de la violence et un humour très noir. »

L’auteur : Né à Belfast en 1958, Sam Millar a fait de la prison en Irlande du Nord comme activiste politique au sein de l’IRA et aux États-Unis comme droit-commun après y avoir perpétré l’un des hold-ups les plus spectaculaires de l’histoire du pays, le fameux casse de la Brinks de Rochester. Après sa condamnation, il est rentré à Belfast pour écrire. Son expérience est décrite dans On the Brinks. Il a reçu de nombreux prix littéraires et ses livres ont été traduits dans plusieurs langues.

→ J’ai beaucoup aimé son autobiographie On the Brinks et le roman noir Poussière tu seras (lire ma chronique par ici). J’ai par contre trouvé le début de Les chiens de Belfast abominable et je n’ai pas pu / voulu aller plus loin (lire mon micro-avis à l’époque sur Babelio, ici)

Les soeurs du Titanic de Patricia Falvey (je n’ai pas encore trouvé qui a traduit ce roman)

La quatrième de couverture est hélas je trouve, un peu bavarde : « Quand les vies de deux sœurs irlandaises se trouvent bouleversées par l’une des catastrophes les plus marquantes du XXe siècle. Un drame historique plein d’émotion, conté avec beaucoup de délicatesse par l’auteure des Filles d’Ennismore. Il est des sœurs que tout sépare…
Nora est la fille adulée, l’enfant chérie promise à devenir gouvernante dans une riche famille américaine. Delia est la rejetée, celle qui est condamnée à n’être jamais plus que l’ombre de sa sœur, une servante sans qualités.
Mais le jour où les deux femmes quittent leur Donegal natal pour embarquer sur le Titanic, le destin rebat soudainement les cartes.
Si Nora compte parmi les nombreuses victimes, Delia, elle, s’en sort miraculeusement. Et si c’était sa chance d’exister enfin ? Arrivée sur les docks de New York, elle décide de se faire passer pour son aînée. Mais alors qu’elle s’attache peu à peu à son employeur, un veuf séduisant, et à la petite fille de celui-ci, la jeune femme s’inquiète : combien de temps peut-elle vivre sur un mensonge ? Et pourquoi ce sentiment que Nora, perdue dans les flots de l’Atlantique, pourrait revenir à tout moment réclamer son dû ? »

L’auteure : Née en Irlande du Nord, Patricia Falvey vit à Dallas, aux États-Unis. Au lendemain d’une longue carrière dans la finance, elle s’est tournée vers l’écriture de fictions historiques. Après Les Filles d’Ennismore (2019 ; Pocket, 2020), Les Sœurs du Titanic est son deuxième roman publié en France.

Son premier roman, Les filles d’Ennismore, paru en 2019 chez Belfond et en 2020 chez Pocket, est dans ma pile à lire, il faut que je l’en sorte !

Apeirogon de Colum McCann (Traduit par Clément Baude)

Paru en grand format en 2020 chez Belfond.

Quel bonheur de voir ce livre paraître en poche ♥

Ma chronique est par ici : “Je suis époustouflée par le talent de Colum McCann. Apeirogon est magistral. Ambitieux et totalement maîtrisé, inspiré et passionnant, poignant. J’applaudis au génie de l’auteur et je rends grâce à cet ouvrage qui, par son humilité d’envergure et sa neutralité engagée, est un véritable manifeste de paix et de fraternité.”

Si vous ne l’avez pas encore lu, je ne peux que vous le conseiller.

« Colum McCann revient avec une œuvre atypique au cœur d’une tragédie infinie : le conflit israélo-palestinien. 
Apeirogon, n.m. :
figure géométrique au nombre infini de côtés.
Rami Elhanan est israélien, fils d’un rescapé de la Shoah, ancien soldat de la guerre du Kippour ; Bassam Aramin est palestinien, et n’a connu que la dépossession, la prison et les humiliations.
Tous deux ont perdu une fille dans le conflit. Abir avait dix ans, Smadar, treize ans.
Passés le choc, la douleur, les souvenirs, le deuil, il y a l’envie de sauver des vies.
Eux qui étaient nés pour se haïr décident de raconter leur histoire et de se battre pour la paix.
Afin de restituer cette tragédie immense, ce conflit infini, et de rendre hommage à l’histoire vraie de cette amitié, Colum McCann nous offre une œuvre totale à la forme inédite. » »

A noter : Cerise sur le gâteau, Colum McCann sera au Centre Culturel Irlandais le samedi 4 septembre après-midi, pour une rencontre organisée en partenariat avec Belfond et le prix Montluc Résistance et Liberté. « Colum nous parlera de ces thèmes chers à son œuvre. Son ami et complice (fin 2019, ils avaient entrepris un voyage en Terre sainte avec l’association Narrative 4), le fiddler Colm Mac Con Iomaire nous offrira quelques-uns de ses sublimes morceaux… Pour mieux illustrer les propos de Colum : « Music can be a form of resistance ». »

Le tiers temps de Maylis Besserie

Paru en grand format en 2020 chez Gallimard, coll. Blanche.

Ma chronique est par ici : Je vous y raconte comment et pourquoi la profonde admiratrice de Beckett que je suis a failli passer à côté de ce livre, pour finalement l’aimer et même le trouver carrément brillant.

« Au cours de mon existence, il me semble que peu d’êtres sont parvenus à me supporter. Je veux dire : à me supporter d’une manière qui me soit supportable. Il faut dire que je ne supporte pas grand-chose. »

« Au Tiers-Temps, petite maison de retraite parisienne, réside un grand échalas au visage sombre mais aux yeux encore perçants. Ce vieux monsieur s’appelle Samuel Beckett. Attendant la fin, presque devenu l’un de ses propres personnages, l’écrivain se souvient. De son amitié avec James Joyce, de leur Irlande natale, de la complicité avec son éditeur, des premières représentations de Godot, de la grâce de l’écriture face à la déchéance d’un corps à bout de souffle. Éclairant ses derniers jours, l’humour intact du vieux Sam, rageur et ravageur, se mêle à la plus poignante mélancolie. »

*

Pfiou, quelle rentrée alléchante, vous ne trouvez pas ? ♥

  15 comments for “Rentrée littéraire d’automne 2021 : vous reprendrez bien un peu de littérature irlandaise ?

  1. 15 août 2021 à 14 h 25 min

    J’ai eu la chance de lire le Paul Lynch et je tenterais bien le Emma Donoghue, une auteure encore jamais lue

    Aimé par 1 personne

    • 15 août 2021 à 14 h 36 min

      Oh, trop bien ! Tu l’as aimé ? Frédéric a eu comme toi la chance de déjà le lire et il a adoré. Hâte de lire ta chronique, en tous cas !
      Ce Emma Donoghue me tente aussi ! L’époque, le thème sanitaire qui semble rejoindre la nôtre, et le côté féministe… je pense que je vais commencer par celui-là

      Aimé par 1 personne

      • 16 août 2021 à 18 h 09 min

        Oui j’ai aimé sans être un coup de coeur. Mais c’est un livre qui prend sa place bien après sa lecture. J’y repense plutôt avec intérêt

        J’aime

  2. 15 août 2021 à 17 h 51 min

    J’ai déjà noté Les lanceurs de feu, le sujet me parle… et j’ai grande confiance en la maison d’édition.

    Aimé par 1 personne

  3. 16 août 2021 à 7 h 51 min

    Il faudrait que je lise le premier de Barry, et Les lanceurs de feu me tente bien (mais le temps manque !) 🙂

    Aimé par 1 personne

    • 16 août 2021 à 7 h 51 min

      Et j’ai bien aimé le Paul Lynch (surtout la plume), sans avoir un coup de cœur pour autant 😉

      Aimé par 1 personne

      • 16 août 2021 à 12 h 15 min

        Ah, intéressant ! De lui je n’ai lu qu’un ciel rouge, le matin, je n’ai pas encore lu les deux autres, tellement sombres, et je trouve que Paul Lynch met trop de mots dans ses phrases 😂🙃 Trêve de plaisanterie, j’ai prévu de lire Grace sans tarder.
        Son nouveau roman ne me tentait pas plus que ça niveau quatrième de couverture, mais l’engouement de Frédéric et maintenant ton retour me donnent hâte de lire vos billets !

        Aimé par 3 personnes

    • 16 août 2021 à 12 h 11 min

      Le premier de Sébastian Barry ? Les tribulations d’Eneas McNulty ? Ou le premier ici, Des jours sans fin ?
      Le temps manque, tu m’étonnes 😬🙃🥳

      Aimé par 2 personnes

      • 16 août 2021 à 12 h 36 min

        Je n’ai lu que le dernier de Paul Lynch, mais pourquoi pas en découvrir d’autres… je ne me suis pas fait la remarque concernant la longueur des phrases, tu m’intrigues et me donnes envie de vérifier 😂
        Je parlais de Des jours sans fin, mais pourquoi pas Les tribulations également 🙂
        Je crois que nous sommes tous dans le même bateau 😬😅🙈

        Aimé par 1 personne

  4. 16 août 2021 à 10 h 58 min

    Merci pour ces recommandations, je note, je note !
    De Paul Lynch, j’ai lu La neige noire et j’avais bien aimé même si c’est une histoire très noire et très âpre.

    Aimé par 2 personnes

    • 16 août 2021 à 12 h 36 min

      Avec plaisir ! 😊
      Pas encore lu pour ma part, mais effectivement tous les retours que j’ai pu lire sur La neige noire le disent très très sombre

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  5. 16 août 2021 à 14 h 07 min

    le pavillon des combattantes est déjà dans ma PAL et Paul Linch toujours à découvrir j’avais noté « Grace » en pense-bête…
    Coup de cœur immense pour Apeirogon qui m’a donné envie de lire d’autres roman de Colum McCann bien sûr 🙂

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  6. 17 août 2021 à 17 h 24 min

    Tu le sais Hélène, j’ai lu et adoré le Paul Lynch (même s’il met trop de mots dans ses phrases ^^😉😅) mais le livre qui retient mon attention est le Colum McCann « Apeirogon » pour deux raisons : le sujet et surtout parce que ta chronique est juste brillante🤩.
    Excellente soirée Hélène, bises bretonnes.

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  7. 20 août 2021 à 1 h 15 min

    Miam miam! C’est alléchant, tout ça.
    Je suis curieuse de retrouver Emma Donoghue, après l’excellent et si troublant Room.
    Le Paul Lynch m’attend dans ma PAL.
    J’adore Beckett. Je m’étais précipitée sur Le tiers temps et je ne l’ai pas terminé. J’ai plutôt eu envie de relire Molloy!
    Bonne fin d’été, miss.

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