Dermot Bolger est né à Finglas, banlieue ouvrière de Dublin, le 6 février 1959. Il fait ses études à St Canice et à Beneavin college. Successivement ouvrier d’usine, aide-bibliothécaire, puis écrivain et éditeur-fondateur de The Raven Art Press, en 1979, il est devenu en 1992 le directeur littéraire de New Island Books. Il est membre d’Aosdana et vit à Dublin.
Il a publié de nombreux recueils de poèmes, une douzaine de romans, des essais et a fait représenter une quinzaine de pièces de théâtre, ainsi que des adaptations de Joyce. En 1993, il a fait paraître l’anthologie The Picador Book of Contemporary Irish Fiction (revue et augmentée sous le titre The New Picador Book of Contemporary Irish Fiction en 2000).
Dermot Bolger est devenu célèbre dans les années quatre-vingt et a fait partie de cette nouvelle génération d’écrivains irlandais, avec Joseph O’Connor, Colm Toibin et Roddy Doyle entre autre, qui se sont démarqués de leurs prédécesseurs, du gaélique et d’une vision « romantique » de l’Irlande. Il a inscrit son oeuvre dans la ville, dans les banlieues, comme Roddy Doyle, mais en beaucoup plus sombre. Ses personnages sont confrontés à la misère, à l’abandon, voire au sordide, à une quête d’identité, de sens, d’existence. Une intéressante analyse de ses premiers romans est à lire dans Le Roman irlandais contemporain de Sylvie Mikowski (à partir de 22.).
J’ai lu presque tous ses romans, je suis très très fan. Mention spéciale pour La Ville des Ténèbres, un des premiers livres irlandais que j’ai lu (en 1996), un de ceux qui m’ont transmis le virus d’adoration passionnelle des lettres irlandaises. Une histoire d’amitié extraordinaire, une atmosphère noire et très dure, loin des clichés. A découvrir. Sinon, La Musique du Père, Une seconde Vie, Toute la Famille sur la Jetée du Paradis sont, je crois, mes préférés. Mais je n’ai pas encore tout lu de lui !
*
Bibliographie
–Ouvrages traduits en français–
Romans
• Le Ventre de l’ange
• Un Irlandais en Allemagne
• La Ville des ténèbres
• Une seconde vie
• La Musique du Père
• Tentation
• Le Voyage à Valparaiso
• Toute la famille sur la jetée du Paradis
• Une illusion passagère
• Le Ruisseau de Cristal
Jeunesse
• Le Sort en est jeté
Pièces de théâtre
• La Déploration d’Arthur Cleary
• Ombre et Lumière d’Avril
• Prodige à Ballymun
• Départ et arrivée
Poésie
• Journal d’un Poète
Editeur
• Finbars’Hotel
• Une Suite au Finbar’s Hotel
*
Publications par ordre chronologique
• Le Ventre de l’ange (The Woman’s Daughter, 1987) – Novella
Traduit par Jacqueline Lahana. Editions Le Passeur / Cécofop, 1994 ; édition revue en 1991 et parue en 2014 aux éditions Joëlle Losfeld sous le titre Le Ruisseau de Cristal (cf plus bas)
• La Déploration d’Arthur Cleary (The Lament for Arthur Cleary, 1989) – Théâtre
Traduit par Emile-Jean Dumay. Editions L’Harmattan, théâtre des ciinq continents, 2000.
Cette pièce a reçu de nombreux prix.
Arthur Cleary, mort, revit sa vie, meurt à nouveau et ressuscite après un geste d’amour qui le sauve de la perdition, un geste de liberté et de révolte contre les exploiteurs et la violence générale du monde « nouveau ». Arthur retrouve un monde familier mais incompréhensible. Il s’y raccroche par lassitude, mais aussi par amour pour Kathy. Tous deux trouveront refuge dans cet amour.
Certainement une des pièces les plus réussies et les plus poétiques de Bolger, mêlant réalisme et onirisme dans des limbes incertains, entre vie et mort, entre rêve et réalité. Un régal pour un metteur en scène. (Emile-Jean Dumay, traducteur)
• La Ville des Ténèbres (The Journey Home, 1990) – Roman
Traduit par Jacqueline Lahana. Presses de la renaissance, 1992 ; réédition en poche chez 10-18, 1996.
Un Dublin inoubliable, vu à la fois comme paradis et enfer. « C’est le premier grand roman de la nouvelle génération irlandaise. Désormais, tous ceux qui s’y intéressent devront compter avec ce portrait vrai de l’Irlande actuelle. C’est le livre que tout le monde attendait, sans doute le plus important depuis vingt ans – à marquer d’une pierre blanche. » (The independant) (pouvait-on lire dans la presse à la sortie de ce roman)
• Une seconde Vie (A Second Life, 1994, puis 2010 pour une seconde version) – Roman
Traduit par Marie-Hélène Dumas. Editions Joelle Losfeld, 2012 ; réédition en poche chez Folio en 2013.
Présentation de l’éditeur : Sean Blake réchappe de justesse à un accident de voiture à la suite duquel il a été, pendant quelques secondes, déclaré cliniquement mort. À son réveil, bouleversé, Sean perçoit le monde tout à fait différemment, comme s’il débutait une nouvelle existence. Mais ce n’est pas la première fois que Sean voit sa vie modifiée. À six semaines, il a été retiré à sa mère, une jeune fille forcée par la société et l’Église de le laisser à l’adoption. Avec le sentiment d’être devenu étranger à sa femme et à ses deux enfants, et très certainement en premier lieu à lui-même, Sean décide de partir à la recherche de cette mère dont il ne sait rien. Avec beaucoup d’émotion et de sensibilité, Dermot Bolger nous entraîne dans une histoire particulière (déjà évoquée au cinéma dans le très émouvant Magdalene Sisters), celle de ces adolescentes irlandaises rompues et humiliées, dont le malheur se répercuta sur les générations futures.
• Ombre et Lumière d’Avril (April Bright, 1995) – Théâtre
Traduit par Emile-Jean Dumay. Editions L’Harmattan, théâtre des ciinq continents, 2003.
Présentation de l’éditeur : Cette pièce constitue une expérience dramatique originale dans son traitement du temps, dans la transfiguration d’un thème rebattu de la vieille Irlande, celui de la tuberculose, des morts d’enfants, des terreurs primitives, et dans l’introduction d’une tonalité neuve mêlant suspense, peur diffuse et fantastique. Œuvre étrange et dramatiquement acrobatique où deux familles, ayant vécu à cinquante ans de distance, sont vues et jouées dans la même demeure. Entre l’ancienne famille et le jeune couple d’aujourd’hui circule, créature du dehors, une mystérieuse visiteuse, fille des murs de la maison de la mort, comme un pont jeté pardessus le temps. Au point culminant de la pièce éclatera pour finir un chant de vie : l’enfant désiré par Avril et l’enfant à naître d’Anna se confondront dans la lumière. La vie l’emportera sur la mort.
• La Musique du Père (Father’s Music, 1997) – Roman
Traduit par Marie-Lise Marlière..Editions Albin michel, 1999 ; réédition en poche chez 10-18, 2001.
Présentation de l’éditeur : Inoubliable portrait d’une jeune femme en quête de vérité dans un monde où règnent ambiguïté morale et corruption. Entre vie dissolue, plaisirs interdits et sentiments brûlants de culpabilité, Tracey, une jeune femme qui vit au rythme de la nuit, s’emploie à exorciser son passé – une enfance et une adolescence douloureuses placées sous le signe de l’abandon de son père – tout en s’efforçant de chasser des démons intérieurs réveillés par une liaison sauvage avec un homme marié et dangereux. C’est la recherche de ce père, musicien du Donegal, qui la rappelle à un passé traumatisant qu’elle tentait en vain de fuir. Dans cette descente aux enfers, le chaos de Dublin n’est que le reflet de son désordre intérieur.
• Un Irlandais en Allemagne (In High Germany, 1999) – Novella
Traduit par Julia Schmidt et Sabine Wespieser. Editions J’ai lu, « Librio », 2001.
A l’origine ce fut une pièce pour le théâtre « In High Germany », jouée en 1990 au Gate theatre à Dublin. Dermot Bolger l’a publié sous forme de roman en 1999.
Présentation de l’éditeur : Dans une longue lettre qu’il écrit à son fils, le narrateur évoque l’incroyable année que fut pour lui 1988 : la veille de la demi-finale de l’Euro 88, que l’Irlande allait perdre, il apprenait que son amie allemande était enceinte.
• Prodige à Ballymun (The Passion of Jerome, 1999) – Théâtre
Traduit par Emile-Jean Dumay. Editions L’Harmattan, théâtre des ciinq continents, 2002.
Présentation de l’éditeur : La scène se passe à Dublin dans une HLM d’un quartier » difficile « . Jérôme, environ 40 ans travaille avec dynamisme dans une agence de publicité. Il est marié à Penny, jolie jeune femme artiste à ses heures et présentement au foyer. Jérôme a aussi une maîtresse, Clara. Une nuit, Jérôme se réveille hurlant de douleur, les mains percées de deux énormes clous. Tout bascule et la pièce s’enfonce à la fois dans une révélation des vérités cachées et dans le fantastique » mystique « . Réaliste et visionnaire, mystique et hétérodoxe, cette pièce apparaît comme un » thriller » moral.
• Journal d’un Poète – Recueil de poésie
Paru aux éditions J’ai lu, « Librio » en 2001.
Sélection de courts poèmes sur la vie quotidienne dans une petite bourgade irlandaise. Sympathique. Le poème sur sa mère est poignant.
• Tentation (Temptation, 2000) – Roman
Traduit par Marie-Lise Marlière. Editions Albin Michel, 2001.
Présentation de l’éditeur : Cinq jours dans la vie d’Alison, son mari Peadar et leurs trois enfants, en vacances sur la côte irlandaise. Chacun a ses propres aspirations pour ces vacances et ses préoccupations quant à la vie qu’ils ont brièvement laissée derrière eux.
• Le Voyage à Valparaiso (The Valparaiso Voyage, 2001) – Roman
Traduit par Marie-Lise Marlière. Editions Albin Michel, 2003.
Présentation de l’éditeur : Roman initiatique, thriller psychologique, ce récit à l’intrigue serrée est l’oeuvre d’un maître-conteur. Au coeur d’une Irlande en pleine évolution, Le voyage à Valparaiso explore les relations troubles entre un père et son fils. Hanté par une enfance malheureuse, Brendan quitte son pays comme pour mieux échapper à ses démons. Mais dans cette fuite éperdue, c’est sa propre identité qui se dérobe… Lorsque, dix années plus tard, il regagne l’Irlande, le décor a changé mais le poids du passé est plus terrible encore. Resurgissent alors les fantômes de son enfance qui l’entraînent dans un labyrinthe dont il risque de ne pas sortir indemne.
• Départ et arrivée – Théâtre
Texte écrit en français par Kazem Shahryari, en anglais par Dermot Bolger. Editions de L’Harmattan, 2004.
Départ et arrivée lie les destinées de deux jeunes femmes, irlandaise et kurde. À quarante ans d’intervalle, elles font halte dans une même chambre d’hôtel à Dublin. Toutes deux enceintes, elles ont dû fuir leur pays en quête d’une vie meilleure pour elles-mêmes et l’enfant à naître.
Écrite dans deux langues, l’anglais pour Bolger, le français pour Shahryari, cette partition théâtrale originale est présentée dans sa version française.
• Toute la Famille sur la jetée du Paradis (The Family on Paradise Pier, 2005) – Roman
Traduit par Bernard Hœpffner. Editions Joelle Losfeld, 2008 ; réédition en poche chez Folio en 2010.
Présentation de l’éditeur : En 1915, dans un village du comté de Donegal, au nord de l’Irlande, la famille Goold Verschoyle s’épanouit dans un manoir animé par les rires de leurs prestigieux invités. Mais le cours de l’histoire menace l’équilibre de ce petit paradis. Dans une Europe déchirée, chacun va devoir affronter son destin. Toute la famille sur la jetée du Paradis suit l’extraordinaire itinéraire de ces personnages impliqués dans les combats pour l’indépendance, la grève générale en Angleterre, les années 1930 à Moscou, la guerre civile espagnole… Dermot Bolger, qui s’est inspiré d’une histoire réelle, a superbement recréé une famille dans sa diversité, toujours unie par les rêves, l’amour et la mémoire vive de l’enfance.
« La vision de Dermot Bolger est furieusement incandescente. […] Bolger est au Dublin contemporain ce qu’était Dickens au Londres victorien. » (Joseph O’Connor)
• Une Illusion passagère (The Fall of Ireland, 2012) – Roman
Traduit par Marie-Hélène Dumas. Editions Joelle Losfeld, 2013.
Présentation de l’éditeur : Martin, haut fonctionnaire irlandais d’une cinquantaine d’années, rattaché à un ministère en bout de course, se retrouve, le temps d’un voyage officiel en Chine, seul dans sa luxueuse chambre d’hôtel. Accablé par une existence terne, entre son épouse et ses trois filles, il décide de s’offrir un massage durant son séjour. La jeune femme chinoise qui vient le masser ne parle pas sa langue et ne partage rien de sa vie : mère célibataire, elle peine à joindre les deux bouts, mais ce qu’elle lui procure est autrement précieux : le plaisir d’être touché, la sensation d’être désiré. Une complicité naît entre eux, que rompt la proposition de la jeune femme de monnayer ses charmes. Martin va-t-il céder à cette tentation?
L’écriture dense et acérée, mais aussi d’une grande sensibilité, de Dermot Bolger condense la vie d’un homme, ses convenances, ses incertitudes et son trouble l’espace d’une nuit.
• Le Ruisseau de Cristal (The Woman’s Daughter, 1987, édition revue en 1991) – Roman
Traduit de l’anglais par Marie-Hélène Dumas. Editions Joelle Losfeld, 2014.
La première partie de ce livre a paru aux éditions Le Passeur en 1994 sous le titre Le Ventre de l’Ange.
Présentation de l’éditeur : Le nouveau roman de Dermot Bolger, Le ruisseau de cristal (The Woman’s Daughter), commence avec l’histoire d’une jeune fille vivant recluse et caché dans une petite chambre. Elle ne fait l’expérience du monde qu’à travers sa fenêtre et les histoires que lui raconte sa mère : l’arrivée de sa famille dans ce quartier résidentiel de banlieue, les jeux avec son frère, qui se muent en un amour incestueux dont on devine les conséquences tragiques, sa vie dans l’Irlande des années 1960, des usines aux salles de bal. Le tour de force du roman est d’inclure cette vie d’isolement et de solitude dans une histoire plus vaste, qui commence au XIXe siècle avec la relation d’un jeune tuteur et de Bridget, une femme de chambre, en pleine ère victorienne, pour se poursuivre avec Joanie, une jeune femme contemporaine, hantée par un passé qu’elle n’a pas connu.
• Le Sort en est jeté (New Town Soul, 2010) – Roman pour adolescents
Traduit par Marie Hermet. Paru chez Flammarion, collection Tribal en janvier 2015.
Présentation de l’éditeur : Joey est un jeune homme que la mort de son père a rendu fragile et influençable. Dans son nouveau lycée, il rencontre Aisling, dont il tombe amoureux et Shane qui, dès le début, exerce une emprise malsaine sur lui. Shane a lui-même un passé douloureux : ses parents sont morts dans un incendie plutôt mystérieux. Joey est entraîné malgré lui dans cette nouvelle amitié. Joey, qui veut absolument retrouve l’âme de son père, risque de tomber dans le piège : des réponses en échange de son âme…
*
Et en tant qu’éditeur
• Finbar’s Hotel (Finbar’s Hotel, 1997) – Roman
Traduit par Florence Lévy-Paoloni. Publié aux éditions Joelle Losfeld, 1999.
En collaboration avec Jennifer Johnston, Anne Enright, Dermot Bolger, Joseph O’Connor, Colm Toibin et Hugo Hamilton.
Prenez sept écrivains irlandais, enfermez les dans une chambre d’hôtel, donnez leur un fil rouge (personnages récurrents), et demandez leur en respectant l’unité de temps (une nuit) et de lieu (l’hôtel FInbar, à Dublin, une institution sur les bords de la Liffey) de composer un roman à sept plumes. Chacun des auteurs signera un chapitre, à chaque chapitre correspondra un numéro de chambre, où se jouera un destin individuel et néanmoins lié à celui des autres.
Tel fut le projet initié et supervisé par Dermot Bolger. Il en résulte un livre exquis, comme le cadavre du même nom. S’y croisent ou s’y rencontrent des hommes et des femmes venus passer une nuit à l’hôtel pour des motifs divers – qui vont de la quête d’aventure extra-conjugale à l’enlèvement du chat, du retour au pays, etc.), unis dans le sentiment d’avoir échoué à l’exament de leur existence.
• Une Suite au Finbar’s Hotel (Ladies’ Night at Finbar’s Hotel, 1999) – Roman
Traduit par Florence Levy-Paolini. Editions Joelle Losfeld, 2000.
Ecrit par Maeve Binchy, Clare Boylan, Emma Donoghue, Anne Haverty, Eilis Ni Dhuibhne, Kate O’Riordan et Deirdre Purcell.
À Dublin, le fameux Finbar’s Hotel est devenu un lieu branché après avoir été racheté et modernisé par la femme d’une célèbre rock star. À l’heure de la réouverture, le ballet incessant de ses visiteurs laisse deviner que la vie y sera trépidante : une bonne sœur ivre de ses gains gagnés au loto tombe amoureuse d’un vieux chanteur américain, une jeune styliste y rencontre son père devenu fou, une femme retrouve le fils qu’elle a abandonné à la naissance, une ex-actrice fauchée attend le rôle de sa vie en compagnie d’un tigre, une dame très collet monté découvre que son mari est une drag-queen, etc.
Après Finbar’s Hotel, Dermot Bolger donne une suite à ce volume et réunit de nouveau plusieurs auteurs pour donner vie à ce lieu de rencontres ; sept femmes en quête de personnages, sept grandes figures de la littérature contemporaine irlandaise.
Bon, donc il faut que je deterre « La ville des tenebres » que j’ai d’occaz et qui est bien cachee dans ma bibli avec trappes secretes. ☺
J’aimeAimé par 1 personne
Absolument 🙂 Y’a pas que chez toi que les trappes secrètes aiment Dermot Bolger : la mienne, c’est Journal d’un Poète qu’elle a avalée. Snif, quoi 😛
J’aimeAimé par 1 personne
Je viens de découvrir un sacré clin d’oeil à Dermot Bolger dans « Les âmes égarées » de Joseph O’Connor, qui lui est d’ailleurs dédié (pliée de rire dans mon lit hier soir, dommage que je n’étais pas filmée, je pense que ça valait le détour 😉 : sacrés eux !
J’aimeJ’aime
J’ai lu « Toute la famille sur la jetée » et bien aimé à l’époque …
J’aimeAimé par 1 personne
C’est un sacré roman !
J’aimeJ’aime
bravo pour ce billet très complet ! Bolger est un auteur que j’aime beaucoup. J’ai lu il y a des années « Le ventre de l’ange » qui m’avait beaucoup marqué. Au fil des ans, j’ai lu « Une seconde vie », « Un Irlandais en Allemagne », « Le sort en est jeté », « Une illusion passagère ». Par contre, « la musique du père » m’est tombé des mains et « Toute la famille… » attend encore que je l’attaque.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci 🙂 Cela me fait bien plaisir de découvrir une amatrice de cet auteur !
J’aimeJ’aime
J’ai lu et aimé Une seconde vie. Un peu moins Le ruisseau de cristal. Mais c’est un auteur que j’aime lire
J’aimeAimé par 2 personnes
Le Ruisseau de Cristal est encore dans ma PAL !
J’aimeAimé par 1 personne