J’ai beau barboter en ce moment avec entrain dans ma PAL irlandaise, je lorgne aussi du côté des nouveautés de la rentrée littéraire, qui me semble particulièrement intéressante (Comment ?! Je dis ça à chaque fois ?!). Voici sept grands formats et six poches, dont la parution est prévue entre le 5 janvier et le 1er mars 2023.
Janvier 2023
En grand format
• Ce que Majella n’aimait pas – Michelle Gallen (Joëlle Losfeld, le 5 janvier 2023) – Irlande du Nord
• Les ravissements – Jan Carson (Sabine Wespieser, le 5 janvier 2023) – Irlande du Nord
• Ligne de fuite – Sara Baume (Éditions noir sur blanc, le 5 janvier 2023)
• Un choc – Keith Ridgway (Phébus, le 12 janvier 2023
• Twin crowns – Catherine Doyle (Bayard Jeunesse, le janvier 2023) – Littérature jeunesse
En poche
• Les lanceurs de feu – Jan Carson (J’ai lu, le 4 janvier 2023)
• Le pavillon des combattantes – Emma Donoghue (Pocket, le 5 janv 2023)
• Dans la baie fauve – Sara Baume (10-18, le 5 janvier 2023)
• Sous terre – James Delargy (HarperCollins poche, le 12 janvier 2023)
Février 2023
En grand format
• Caisse 19 – Claire-Louise Bennett (Gallimard, coll. Scribes, le 2 février 2023)
En poche
• La jeune femme et l’ogre – John Connolly (Pocket, le 9 février 2023) – Série Charlie Parker, tome 17
Mars 2023
En grand format
• Troubles – Louise Kennedy (Denoël, le 1er mars 2023) – Irlande du Nord
En poche
• La colline aux disparus – Tana French (Livre de poche, le 1er mars 2023) – Roman policier
• Ce que Majella n’aimait pas de Michelle Gallen (Traduit par Carine Chichereau)
« La liste des trucs que Majella trouvait vraiment intéressants était beaucoup plus courte :
1. manger
2. Dallas
3. la chaîne payante Gold
4. Papa
5. Mémé
6. la Smithwick’s
7. les antidouleurs
8. nettoyer
9. le sexe
10. les sèche-cheveux
Parfois, Majella pensait qu’elle devrait condenser la liste complète des trucs qu’elle n’aimait pas trop en la réduisant à un seul :
— les autres. »
Majella, jeune fille un peu forte, vit avec sa mère dans la petite bourgade d’Aghybogey, en Irlande du Nord, où elle travaille dans une baraque à frites.
Des thématiques profondes, aussi bien qu’intimes – la disparition d’un père, la mort d’un frère, la jalousie familiale, le sort des femmes, la période des Troubles irlandais –, servies par un humour ravageur, argotique et poétique. »
L’autrice : voir son site par ici
Je lirai cette nouvelle voix d’Irlande du Nord, c’est certain !
• Les ravissements de Jan Carson (Traduit par Dominique Goy-Blanquet)
« Dans sa classe de onze enfants, Hannah se sent exclue de tout : ses parents, fondamentalistes protestants, ne l’autorisent à se rendre ni au cinéma, ni aux fêtes d’anniversaire et pas non plus à la sortie de fin d’année. Ce 25 juin 1993 est le dernier jour d’école et, malgré les Troubles qui semblent ne jamais vouloir finir, tous rêvent d’un été insouciant.
Mais une inquiétude d’une autre espèce s’installe à Ballylack, localité imaginaire d’Irlande du Nord qui n’est pas sans rappeler Ballymena, où est née l’auteure : Ross, un condisciple d’Hannah, meurt d’un mal inconnu et mystérieux, bientôt suivi par Kathleen. Parce que les deux premières victimes étaient de faible constitution, la communauté tente de se rassurer. Mais, quand les camarades d’Hannah disparaissent les uns après les autres, la panique s’installe. Ballylack est envahie par des équipes scientifiques chargées de découvrir l’origine de cette épidémie ne frappant que les enfants, devenue une affaire nationale. Et, bien sûr, des hordes de journalistes leur emboîtent le pas.
Hannah n’est atteinte d’aucun symptôme. Mais elle vit une expérience qu’il lui est impossible de confier à quiconque : un à un, les fantômes de ses amis viennent la hanter.
Si Jan Carson, grande amatrice de réalisme magique, embarque son lecteur dans des situations où tout peut arriver, c’est avec une scrupuleuse précision et une ironie mordante qu’elle scrute les effets de la crise sur les habitants du bourg. Maîtresse dans l’art du récit, elle met à nu ses personnages, notamment les parents des petites victimes, dont elle construit des portraits formidables de véracité et d’énergie. »
L’autrice : (présentation éditeur) Comptant parmi les voix émergentes de la scène littéraire contemporaine d’Irlande du Nord, Jan Carson est née dans une famille protestante en 1980, à Belfast. Elle y anime des ateliers artistiques et publie depuis une dizaine d’années des romans, de recueils de nouvelles et de micro-fictions.
Les Lanceurs de feu, premier de ses livres à paraître en France (2021), a été très remarqué. Il a été finaliste des prix Femina et Médicis étrangers.
Les ravissements me tente énormément ! Mais Les lanceurs de feu étant déjà dans ma PAL, je commencerai d’abord par lui. Il vient de sortir en poche :
• Les lanceurs de feu de Jan Carson (Traduit par Dominique Goy-Blanquet)
Paru en grand format chez Sabine Wespieser en 2021
« À Belfast, l’été 2014 restera dans les mémoires comme celui des Grands Feux. À la suite de l’appel à la rébellion du mystérieux « Lanceur de feu » sur les réseaux, de gigantesques brasiers illuminent la ville en toute illégalité.
Dans cette ville suffocante, crispée par le spectre ravivé des Troubles, deux pères rongés par l’angoisse tentent de poursuivre leur vie. Jonathan Murray, médecin, élève seul sa fille qui ressemble de plus en plus à sa génitrice, tandis que Sammy Agnew, ancien paramilitaire loyaliste, s’efforce de ne pas reconnaître son fils Marc dans la silhouette du Lanceur de feu. Ces deux hommes que tout sépare à l’exception de leur culpabilité finissent par se rencontrer… »
A noter si vous êtes en région parisienne : Jan Carson sera au Centre Culturel Irlandais le 31 janvier prochain, à la librairie Millepages à VIncennes le 1er février, et à la nouvelle librairie Livres et parlotte à Paris le 4 février ! (je vous ai mis les liens si vous voulez vous inscrire, vous n’avez qu’à cliquer)
• Ligne de fuite de Sara Baume (Traduit par France Camus-Pichon)
« Jeune artiste irlandaise d’une vingtaine d’années, Frankie est entourée par une famille aimante et des amis aussi fidèles qu’anticonformistes. Mais elle ne réussit pas à percer, doute de son propre talent, et a beaucoup de mal à faire face à la vie urbaine – à la vie en général.
Pour soigner son mal-être, elle fuit alors Dublin et son animation et part se réfugier dans la vieille maison décrépite de sa grand-mère, récemment décédée, au pied d’une éolienne gigantesque, dans la campagne irlandaise, entourée par les souvenirs, les photographies et les bibelots de son enfance. Une longère perdue dans les landes.
Là, entourée par la nature, elle observe le passage des saisons, s’interroge sur sa capacité à la compassion, met sa santé mentale et son talent artistique à l’épreuve, arpente, jour après jour, le chemin accidenté qui mène vers la lumière.
Au croisement de l’autofiction et du nature writing, ce roman provoque l’émerveillement, il explore la fragilité de l’âme humaine, questionne notre perception de la réalité, le lien viscéral qui nous lie avec la nature. Et le désir, humain et impérieux, de laisser une trace. Un rappel de la beauté qui réside en toute chose, et qui peut être trouvée par celui qui accepte de s’extraire de la frénésie et de l’agitation pour poser un regard mélancolique sur le monde. »
La quatrième de couverture me donne vraiment très envie de le lire !
Son premier roman vient de sortir en poche :
• Dans la baie fauve de Sara Baume (Traduit par France Camus-Pichon)
Paru en grand format en 2016 aux Éditions Noir sur blanc.
« Dans une petite ville côtière d’Irlande, la rencontre improbable de deux êtres cabossés par la vie.
« Tu me trouves un mardi, où je vais en ville comme chaque mardi. Tu es affiché dans la vitrine de la brocante. Une photo de ta tête estropiée et, au-dessous, un appel : Recherche maître compatissant et tolérant, sans autre animal de compagnie ni enfant de moins de quatre ans. »
C’est le printemps, dans une petite ville côtière de l’Irlande. Le narrateur de cinquante-sept ans est cabossé par la vie. Trop vieux pour prendre un nouveau départ et trop jeune pour baisser tout à fait les bras, il traîne sa solitude de plus en plus difficilement. Quand il croise la route d’un chien borgne et famélique, il n’hésite pas longtemps : il en fera son compagnon de misère. Leur amitié, d’abord fragile, deviendra indéfectible. Jusqu’à ce que les habitants du coin décident de s’en mêler.
Servi par une langue étincelante et une intrigue menée tambour battant, Dans la baie fauve est un roman poignant sur l’alliance de deux êtres abîmés. »
Dans la baie fauve est chroniqué sur le blog →
• L’autrice : (présentation éditeur) Sara Baume est une Irlandaise d’une trentaine d’années vivant dans la campagne de Cork. Sa vie est tout entière tournée vers la littérature, à laquelle elle se dédie corps et âme après avoir étudié les beaux-arts et la création littéraire. Son premier roman, Dans la baie fauve (dont le titre original est Spill Simmer Falter Wither), a été sur la dernière liste du Sunday Independent Newcomer of the Year, du Irish Book Award et du Guardian First Book Award 2015 Son premier roman Dans la baie fauve est chroniqué sur le blog
• Un choc de Keith Ridgway (Traduit par Charles Bonnot)
« Londres aujourd’hui. Les personnages dépeints par Keith Ridgway s’entremêlent lors d’une fête de quartier, au pub du coin, dans leurs modestes appartements en marge de la ville. Ils forment une petite société underground, un monde sans rédemption où l’on s’oublie dans des rencontres furtives afin de supporter le quotidien.
Comme si, pour Ridgway, l’écriture romanesque était avant tout un acte de résistance face à la dureté de l’existence.
Un choc est une fresque sociale, crue, poétique, étrange.
Magnifiquement humaine. »
Son premier roman, Mauvaise pente, m’a marquée. Triste et beau. J’ai très envie de découvrir celui-ci – et je suis donc ravie de l’avoir remporté lors de la dernière Masse Critique de Babelio ! J’attends de le recevoir.
• Sous terre – James Delargy (Traduit par Maxime Shelledy et Souad Degachi)
Paru en grand format l’an dernier chez HarperCollins France.
« Comme beaucoup, les Maguire rêvent de quitter la ville pour un retour à la nature. Kallayee semble être l’endroit idéal : abandonné depuis longtemps, l’ancien village minier promet d’être paisible. Mais sous l’écrasante chaleur du désert australien leurs espoirs se dissipent. Des lumières la nuit, des grondements lointains, des traces de pneus dans la poussière… Autant d’indices prouvant qu’ils ne sont pas seuls.
Depuis Noël, voilà dix jours que personne ne peut les contacter. La famille a disparu. Emmaline Taylor de la police criminelle mène l’enquête et cherche à comprendre les raisons qui les ont poussés à se réfugier dans un endroit si reculé. Et elle devra faire vite : la maison saccagée et le sol taché de sang laissent craindre le pire…
Dans la lignée de son premier roman, Victime 55, et de Canicule, James Delargy nous livre un pur thriller, à l’ambiance âpre et étouffante. »
• Twin crowns de Catherine Doyle (Traduit par Katherine Weber et Maud Ortalda)
« Wren Greenrock s’est préparée toute sa vie à usurper la place de sa sœur jumelle et monter sur le trône d’Eana. C’est le seul moyen de mettre fin à la guerre contre les sorcières, qui l’ont élevée.
Rose Valhart, elle, s’apprête à devenir reine, épouser le prince du royaume voisin et s’assurer un allié dans la lutte contre la magie.
Dans ce duel animé par la vengeance, où les secrets se révèlent et les amours impossibles fleurissent, qui obtiendra le pouvoir ? »
*
*
Le tome 1 de sa série Le gardien des tempêtes, est chroniqué sur le blog →
L’autrice : (présentation éditeur) Catherine Doyle a grandi à proximité de l’océan Atlantique, à l’ouest de l’Irlande. Bercée par les grands mythes et contes irlandais, elle s’est promis très jeune d’écrire un jour ses propres légendes. Après avoir étudié la psychologie et l’édition, elle s’est enfin lancée. Sa première série publiée en France, « Le Gardien des Tempêtes », a été inspirée par la véritable île d’Arranmore où on grandit ses grands-parents, et par les aventures de ses nombreux ancêtres marins. Catherine vit aujourd’hui à Galway, et passe beaucoup de temps à Londres ou aux États-Unis.
• Le pavillon des combattantes – Emma Donoghue (Traduit par Valérie Bourgeois)
Paru en grand format en 2021 aux presses de la Cité.
« Dublin 1918. Une immersion fiévreuse dans la salle de quarantaine d’une maternité, en pleine pandémie de grippe espagnole.
1918. Dublin est ravagé par la guerre et un nouveau mal s’abat sur l’Irlande. On l’appelle « la grande grippe », pas encore « espagnole », mais l’épidémie fait rage, ajoutant la confusion au chaos. Placée à la tête d’une maternité de fortune, l’infirmière Julia Power l’affronte chaque jour en première ligne. À l’aube de ses 30 ans, alors qu’à l’hôpital on manque de tout, Julia se retrouve seule pour gérer ses patientes en quarantaine. Elle ne dispose que de l’aide d’une jeune orpheline bénévole, Bridie Sweeney, et des rares mais précieux conseils du Dr Kathleen Lynn – farouche indépendantiste. Dans une salle exiguë où les âmes comme les corps sont mis à nu, toutes les trois s’escrimeront, là où la mort règne, à donner la vie envers et contre tout… »
Ce roman a été un coup de coeur. Ma chronique est à lire sur le blog →
Emma Donoghue sur le blog : un recueil de nouvelles est également chroniqué : Égarés
L’autrice : (présentation éditeur) Née en 1969 en Irlande, Emma Donoghue vit aujourd’hui au Canada. Naviguant avec aisance entre les genres – pièces de théâtre, nouvelles, histoire littéraire –, elle est surtout connue pour ses romans et notamment Room, best-seller international paru chez Stock en 2011.
• Caisse 19 de Claire-Louise Bennett (Traduit par Thierry Decottignies)
« « Il y a dans cette collection une page qui n’est pas blanche – du moins pas entièrement. Elle porte une phrase ; c’est tout, une seule – une seule phrase. Et cette unique phrase contient tout. Tout. »
Petite, elle surprend les conversations énigmatiques de sa grand-mère excentrique. Adolescente, elle a le béguin pour l’un de ses professeurs, elle écrit des nouvelles au dos de ses cahiers d’école. Étudiante précaire, elle travaille à la caisse n°19 d’un supermarché et reçoit de la part d’un client un livre qui va changer le cours de son existence. Adulte, elle tente d’alimenter au mieux son goût de la liberté.
« Elle », c’est la narratrice de ce récit, qui revisite les moments forts de sa vie, ceux qui ont fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui : une femme, une lectrice, une autrice. Le point commun entre tous ces instants ? Le livre, l’attrait puissant de ses phrases, la littérature et la façon dont les mots débouchent sur une vie nouvelle.
Dans un style moderniste, Caisse 19 explore les vases communicants que sont la vie et l’art, et constitue un formidable hommage aux créatrices. »
Son premier roman L’étang est chroniqué sur le blog →
L’autrice : ‘présentation éditeur) Claire-Louise Bennet a grandi dans le Wiltshire. Après des études de littérature et de théâtre à l’université de Roehampton, elle s’est installée en Irlande, à Galway. Ses nouvelles et ses essais ont été publiés dans des revues telles que la White Review, The Stinging Fly, The Penny Dreadful, The Moth, Colony, The Irish Times, ou Gorse. Elle a reçu le prix de la nouvelle de la White Review en 2013, et a reçu des bourses du Arts Council de la ville de Galway.
Paru en 2015, L’Étang a suscité un enthousiasme général de la presse et du public anglo-saxon.
• La jeune femme et l’ogre de John Connolly (Traduit par Laurent Philibert-Caillat)
Paru en grand format l’année dernière aux Presses de la Cité
« Le corps d’une femme est retrouvé enterré dans les bois du Maine. L’autopsie révèle qu’elle est morte en mettant un enfant au monde. A-t-il survécu et, dans ce cas, où se trouve-t-il ?
Charlie Parker est chargé d’élucider ce mystère. Mais il n’est pas le seul à s’intéresser à l’affaire. Deux sinistres personnages, aussi cruels qu’impitoyables, s’efforcent eux aussi de remonter la piste de la défunte, laissant dans leur sillage quantité de cadavres. Et si leur cible n’était pas l’enfant, mais un livre de contes doté d’un pouvoir diabolique volé par sa mère ?
Voici Parker engagé dans une course contre la montre dont l’enjeu n’est pas des moindres : il s’agit de sauver le monde des flammes… »
J’ai lu le précédent de la série – qui m’avait d’ailleurs réconcilié avec John Connolly, et j’attendais qu’il sorte en poche pour lire celui-ci.
Ma chronique est par là →
L’auteur : John Connolly est né à Dublin en 1968. À travers son œuvre, ce journaliste de l’Irish Times, à qui l’on doit le personnage du détective Charlie Parker, a su imposer un univers noir et fantastique d’une grande originalité.
• Troubles de Louise Kennedy
Il n’y a pas encore de visuel ni de 4ème de couverture – ni de traducteur – sur le site de la maison d’édition, mais c’est la traduction de Trespasses, dont voici la page sur Goodreads : c’est un premier roman qui se passe pendant les Troubles, où il est question d’une liaison entre une jeune catholique et un protestant plus âgé. Les critiques presse sont élogieuses.
• La colline aux disparus de Tana French (Traduit par Éric Moreau)
Pas encore de visuel de couverture.
Paru en grand format l’année dernière chez Calmann-Levy.
Il a remporté le grand prix des lectrices de ELLE 2022 – Catégorie Polar. Je vais peut-être retenter ma chance avec Tana French avec ce titre… (Je n’avais pas du tout aimé Comme deux gouttes d’eau, ma seule incursion dans son oeuvre)
« Cal Hooper, ancien flic de Chicago désabusé et avide de tranquillité, se réfugie dans un minuscule village irlandais, isolé au milieu des landes et des collines battues par le vent. Mais un gamin du coin, Trey, vient bouleverser son quotidien en le suppliant de retrouver son frère aîné. D’abord peu enthousiaste, Cal se rend compte que personne au village ne semble se soucier du disparu, issu d’une famille pauvre et mal vue par les habitants. Forcé de reprendre du service, il entame discrètement son enquête, et découvre les mensonges et les secrets qui pèsent sur sa retraite rêvée. Dans ce paysage de bout du monde où il est si facile de se perdre, Cal et Trey ne pourront compter que l’un sur l’autre.
Un conte magistral et atmosphérique qui nous interroge sur notre capacité à distinguer le bien du mal, et sur ce que nous sommes prêts à mettre en jeu lorsqu’il nous faut nous décider. » »Cal Hooper, ancien flic de Chicago désabusé et avide de tranquillité, se réfugie dans un minuscule village irlandais, isolé au milieu des landes et des collines battues par le vent. Mais un gamin du coin, Trey, vient bouleverser son quotidien en le suppliant de retrouver son frère aîné. D’abord peu enthousiaste, Cal se rend compte que personne au village ne semble se soucier du disparu, issu d’une famille pauvre et mal vue par les habitants. Forcé de reprendre du service, il entame discrètement son enquête, et découvre les mensonges et les secrets qui pèsent sur sa retraite rêvée. Dans ce paysage de bout du monde où il est si facile de se perdre, Cal et Trey ne pourront compter que l’un sur l’autre.
Un conte magistral et atmosphérique qui nous interroge sur notre capacité à distinguer le bien du mal, et sur ce que nous sommes prêts à mettre en jeu lorsqu’il nous faut nous décider. »
Il y a de quoi trouver des lectures pour tous les goûts ! Je note une sortie poche : Dans la baie fauve et je garderai à l’oeil Troubles…
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Oui, comme toi, je trouve cette rentrée agréablement variée ! Ravie que tu aies noté un titre 😊 J’ai l’impression que je serai moins raisonnable que toi : je ronge déjà mon frein pour ne pas filer direct à la librairie acheter le Sara Baume. Le Michelle Gallen aussi, dont le style qui semble très atypique me rend vraiment curieuse. Ralala 🥳
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